• Vous ai-je souhaité de bonnes fêtes ?

    Comme j'ai un doute - euphémisme signifiant "Comme il est certain que je ne l'ai pas fait" - mes très chers lecteurs, suiveurs, navigateurs de la Toile, je profite de cette journée d'Epiphanie pour vous souhaiter à tous, avec un peu de retard un

    JOYEUX NOËL

    ET UNE

    EXCELLENTE ANNEE !

    Voir le compteur m'indiquer chaque jours quelques visiteurs de plus me comble de joie et j'espère que vous prenez autant de plaisir à lire mes bêtises (de deux paragraphes ou de 600 pages) que j'en prends à les écrire.

    J'espère aussi que vous avez trouvé, sous les branches du sapin, une mutitude de livres de fantasy, qui ont le mérite de vous faire voyager à moindre coût que le prochain vol pour Bora-Bora (et sans les séances de vaccins supplémentaires.)

    Alors bonne lecture et à très bientôt !

     


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  • Essayez donc : le vert va à tout le monde.

    Mais plus particulièrement, dans le cas qui nous occupe, à Deymos !

    Et oui, ce cher vieux Deymos, l'authentique héros des Lames d'Argent (n'oubliez pas qu'il s'agit de la pierre angulaire de vos cadeaux de Noël, alors pensez à commander le premier tome !) dont je ne parlais plus depuis longtemps, mais qui revient pour faire des siennes.

    Deymos est un personnage qui me tient beaucoup à coeur, en dépit de tout le mal que je peux dire de lui, et l'une de mes grandes frustrations est de n'avoir jamais réussi à lui donner un visage... Alors naturellement, quand la géniale Tori et moi nous sommes lancées dans un échange sur deviantArt, c'est Deymos que je lui ai demandé de réaliser pour moi. Personnellement, j'adore le résultat, dans ce style un peu cartoon qui me rappelle irrésistiblement le film Dragons (en anglais How to train your dragon) :

    Le vert vous va si bien

    Je vous invite à faire immédiatement un petit saut jusqu'à sa galerie et son tumblr, Thousand Floor Dungeon, une délicieuse petite tranche de fantasy décalée.

     

    Merci encore, chère Tori, pour ce génialissime Deymos !

     


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  • C'est bientôt Noël ! (oui, oui, je fais partie de ces gens qui adorent Noël.)

    Avez-vous pensé à Larmoyante ?

    Mais oui, lecteur, réfléchis-donc ! Tu es stressé par les Fêtes, tu cherches encore des cadeaux, pour la Tante Marguerite, par exemple, qui ramène toujours son affreux chien (qu'elle persiste à habiller avec ce minuscule imperméable à fleurs en toile cirée), ou pour le fiancé si agaçant de ta fille aînée/soeur/perruche domestique ; tu n'as aucune idée de ce que tu pourrais bien offrir, et d'ailleurs, tu n'as absolument aucune envie de sortir faire les magasins, parce qu'il a neigé cette nuit, que la voiture est congelée, que tu as perdu tes bottes de ski (elles sont dans le garage, tu les as utilisées cet été pour caler le réfrigérateur d'appoint) et que de toute manière, tu préfères faire un bonhomme de neige dans ton jardin. Tu n'as pas de jardin ? Dommage. Tu peux en faire un dans ton congélateur, si tu préfères, c'est tout aussi amusant. Mais si.

    Je digresse.

    Voilà la solution : commande donc Larmoyante, le premier tome de la série des Lames d'Argent ! Le titre ne te dit rien ? Plus pour longtemps. C'est un livre fabuleux, plein d'action, de rebondissements épiques, de dialogues haletants, de péripéties rocambolesques (et pas toujours très sensées), d'épées magiques, de sorciers agaçants, d'elfes boulimiques, de magiciennes sceptiques, de drôles de petites choses poilues et de dragons ! (Un livre sans dragon n'est pas un bon livre. C'est ce que j'ai essayé de faire comprendre à Proust, mais ce garnement n'écoute jamais rien.)

    Mieux encore : cette perle de la littérature, cette cerise sur le gâteau de tes lectures de vacances, cet Himalaya de tes séances de bullage hivernal, cher lecteur, te sera livré directement (frais de ports offerts, petit veinard !), et fourni avec un magnifique MARQUE-PAGE ! Aaah, je sens que tu te laisses convaincre, lecteur... Tu as raison. Laisse-moi te porter le coup de grâce avec cette offre exceptionnelle : pour peu que tu nous indiques le nom et l'adresse de la personne à qui tu souhaites offrir ce fabuleux cadeau, il lui sera expédié directement, emballé dans un sublime papier cadeau.

    Laisse-toi tenter, lecteur, et découvre les aventures de Deymos, Zembria, Vorgan, et d'une multitude d'autres personnages que tu pourras déjà découvrir en feuilletant les pages de ce blog.

    Quoi qu'il en soit, mes chers lecteurs, je vous souhaite à tous de passer de très bonnes fêtes et de profiter de vos vacances comme il se doit !

     

    PS : C'est absolument atroce, ce rouge et ce vert.


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  • Des mille et un trésors que l'on peut trouver sur la Toile, pour peu que l'on prenne la peine de chercher...... Ce qui n'est pas mon cas. Cette fois-ci, j'ai été tuyautée. (Ca n'en reste pas moins un principe plein de vérité : par exemple, si vous fouillez un peu plus loin qu'Amazon, vous pouvez tomber sur des sites fabuleux, comme les Editions de la Tribu.)

    Je digresse.

    Ce dont je veux vous parler aujourd'hui, pour changer, ce n'est pas de moi, mais de l'une de ces personnes extraordinaires qui vous font ouvrir la bouche comme un poisson perplexe et regretter d'avoir passé vos années de collège à jouer à la playstation plutôt qu'à travailler la coordination de vos dix doigts : je veux évidemment parler des dessinateurs.

    Et je veux évidemment parler d'un dessinateur en particulier : Teddy Chansigaud.

    Je vous fais grâce de ses études, sa biographie, des comptes-rendus des séances chez son psy, mais je vous engage à une chose : allez donc faire un tour sur son blog ! Soyons honnête, lecteur : si tu te trouves en ce moment sur cette page, c'est ou bien parce que tu es ma chère maman, ou bien parce que tu n'as pas grand-chose d'autre à faire !

    Vous trouverez sur le blog de Teddy Chansigaud une multitude de petites merveilles tout à fait spectaculaires et qui nous changent agréablement des vulgarités faciles et sans attrait que l'on trouve en temps normal sur les couvertures d'heroïc-fantasy (oui, oui, c'est à la couverture de Kushiel que je pense...), entre autres une série d'illustrations des contes des Mille et une Nuits, projet sur lequel il travaille en ce moment (j'espère que vous avez noté le jeu de mots dans le titre de cet article. Je ne t'entends pas soupirer d'admiration, lecteur. Prends garde à toi.)

    En plus du lien que vous venez de dépasser, plusieurs voies vous conduiront jusqu'au fief numérique de l'Ami Teddy (Monsieur Chansigaud, si vous passez par là, j'espère que vous me pardonnerez cette petite familiarité), entre autres le lien que vous pourrez trouver dans la section Liens de ce blog.

     

    Passe une bonne journée, lecteur, profite bien de l'air frais de cet hiver qui approche et  fais bonne route à travers la Toile !

     


    2 commentaires
  •  

    Oui, vraiment, je pourrais faire comme si de rien n'était. Vraiment. Pour dire la vérité, alors que j'écris ces mots, je me demande encore pourquoi (oui, pourquoi !) est-ce que je ne me contente pas de faire profil bas et de longer les murs en sifflotant et en priant le Saint Poulpe pour que personne n'ait rien remarqué...

    Mais non, mes amis, c'est trop dur, et je ne puis vivre avec le poids de cette culpabilité ! Comme Rousseau et Saint Augustin avant moi (qui, j'en suis sûre, étaient des garçons charmants), je dois faire ma confession et assumer les conséquences de mes actes, à savoir (je l'espère) quelques légers gloussements et deux ou trois roulements d'yeux en l'air.

    Je me suis trompée.

    Il s'avère que mon latin est encore plus mauvais que ce que j'avais la prétention de croire : je parle, bien évidemment, de mon dernier texte publié, Ultima decat. Ou, devrais-je dire, Necat. Car la formule consacrée est bien la suivante : Vulnerant omnes, ultima necat, et non pas decat, comme l'a bien malencontreusement cru votre serviteur, trop fier de lui pour se livrer aux vérifications d'usage.

    Pour cela, je tiens à m'excuser auprès de tous les vrais latinistes et vrais lettrés qui auront avalé leur pipe de travers, fait sauter leur pacemaker, basculé en arrière sur leur fauteuil de bureau, seront tombés dans les pommes, auront mordu leur écran de rage ou rendu purement et simplement l'âme en lisant cette épouvantable erreur. Hélène, si jamais tu passes par là, c'est à toi que je m'adresse !

    Chers latinistes et latinistes, chers lettrés, chers lecteurs, du fond du coeur : Mea culpa (celle-là, je l'ai vérifiée.)

    En dépit de cette lamentable faute, j'espère que vous aurez tout de même passé un bon moment en lisant cette nouvelle.

     


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